Critiques Séries : Human Target. Saison 1. Episode 10.

Human Target // Saison 1. Episode 10. Dietrich.

Ce que j'aurais à dire c'est que j'ai trouvé cet épisode réjouissant. Un épisode censé se dérouler en Alaska qui m'a séduit par rapport au reste de la saison et donc de la série. Même si l'histoire en elle même ne casse pas trois pattes à un canard, comme d'habitude d'ailleurs car jamais la série n'a vraiment dépasser le seuil du franchissable. Je sais, c'est pas très comprehensible, mais j'adore inventer des mots qui correspondent à ce que je ressens.

En bref, donc, je vais commencer par le plus réjouissant. Je trouve que Guerero est une personnage énorme et qui mérite vraiment l'exposition qu'il a dans ce nouvel épisode. Il est à la fois drôle et complètement fou, ce qui le rend vraiment énorme. Un personnage atypique qui arrive à s'incruster sans que personne ne le sache dans une entreprise de télécom pour connaître les relevés téléphoniques dont nos chers compères ont besoins. Le pire c'est qu'il se barre à la fin avec une part de gâteau du pot de départ d'un membre du personnel. Gonflé celui là !

Ensuite, Christopher Chance. Ils ont vraiment trouver en Mark Valley LE personnage qu'ils devaient trouver pour cette série. Une vraie bonne idée. Dans ce nouvel épisode je trouve qu'il montre qu'il a du talent celui là même si le scénario est bien plus digne d'un gros film d'action Bay-iens que d'un film d'art et d'essai ou d'une série comme Dexter ou Breaking Bad (certes, les univers n'ont rien à voir).

Enfin, Chi McBride. Cela faisait longtemps que je n'avais pas parler de lui mais le je l'adore. Déjà que dans Pushing Daisies il était énorme mais alors là, il est le médiateur de la série en quelques sortes, celui qui va tenter de rattraper les bourdes des uns et des autres et surtout de Christopher Chance. En bref, j'adore ce personnage.

Note : 6/10. En bref, même si la série n'a jamais volée haut, elle a le mérite d'être sympathique à regarder et de nous divertir facilement, ce que certaines séries n'arrivent pas à faire.